28 février 2010



Moi pis les barmaids...

Ce soir, c'étais la fête d'une amie. Chu donc allé dans un nouveau bar que j'connaissais pas. Après 3 minutes, j'avais déja un méga crush sur la barmaid... J'ai comme oublié assez vite mon autre ptite barmaid de l'autre soir! J'comprends pas trop ce que j'ai à tripper sur toutes les calisses de barmaid de la province... Ca doit être mon coté alcoolo qui me dirige toujours sur elles! Mais fuck, j'ai vraiment de la misère à comprendre ces filles là! J'sais jamais si le ptit sourire qu'a me pitche sert à faire plus de tips ou si c'est sincère... Ce soir, j'me suis vraiment demandé si la conversation qu'elle a partie à propos de mes tattoos l'interessait vraiment ou si elle faisait ça juste pour les 4$ de tips que j'lui laissais depuis le début de la soirée... Pis le flattage de bras, c'tais sincère ou pas? Pis j'ai toujours l'impression que les barmaids ont aucun interet à me cruiser, étant donné qu'elles peuvent pas mal se ramasser n'importe qui dans l'bar (genre les doorman qui me crisserait une volée en même pas 1 round!) donc même si elle me cruiserait pour vrai, j'm'en rendrais surement même pas compte... Bref, ce soir, j'ai croiser la barmaid de mes rêves! J'sens que j'vais devenir un habitué de c'te place la...

27 février 2010



Marathon de cochonneries..

Avant hier, il était sur le porche de ma porte, à me supplier (ok j'en mets peut être un peu...) de lui laisser une deuxième chance... Ben se tenait là, les bras lousses, une bosse prédominante dans ses jeans..

"Ah come on là! J'ai envie de toi! On avait juste beaucoup trop bu! T'es pas pour me faire un crisse de scène à cause de ça!! Check, j't'assure, tu m'allumes, avec tes problèmes et tes marques à la con sur tes cuisses et ta façon de ma haïr quand je te déçois... et.. et.. fuck .. ******** j'ai envie de toi!"

- Ok, ta gueule. Monte et prends moi.

Et depuis ces 48 heures, on baise. Sans fin, sans se tanner. Bien sur, on prends des breaks, on dors, on se nourris (principalement sur le corps de l'autre..) et on se marre. Fuck il est drôle. Mais surtout.. il mange ma chatte, inlassablement..
Mon corps se crispe sous les jouissances infligées mais surtout, sous les douleurs, les brûlures qu'il (ou que je..) m'inflige..
C'est fusionnel. Le sexe est divin.
Je sens lui, à plein nez. J'aime son odeur, c'est musqué, très très viril.

Présentement, il dort, dans mon lit. Il n'est pas douché d'ailleurs. Son sexe sent le mien, je compte le rejoindre sous peu... finir le tout sous les jets chauds de la douche... Pissed off ma superbe coloc et son copain, trop fermés pour nous suivre dans nos délires..
J'désire des trip frôlant l'orgie, je crois être sur un fucking high, quelques chose que même la meilleure des dopes n'atteint pas. J'ai envie d'être un avec Ben, pis fuck, c'est pu loin.
...

25 février 2010



Life is...

Eva...

J'ai finalement eu l'courage d'inviter ma ptite barmaid de 100lbs pour une date! Le plan était assez simple: souper dans un bon resto pas trop chic, promenade en ville, drinks dans un bar assez class pis apres... on verra! Bref, la date classique pas compliquée qui permet de se connaitre un peu plus! J'arrive de travailler, j'prends ma douche, j'me rase, j'me brosse les dents pis j'part! A date... life is awesome! J'arrive devant chez elle... Je sonne... Elle ouvre... Wow! Une belle robe noire un peu trashy, les cheveux sauvages, un peu de make up pis un smile de la mort. Life is great! On arrive au resto, on se prend un verre, on regarde le menu. J'me commande un Rib Steak de 12oz... Elle se commande une assiette de côtes levées. Life is sweet! Après le repas, on sort, on marche, elle s'accroche à mon bras, un peu comme à une bouée de sauvetage. Fais toi s'en pas ma belle, j'vais te sauver. J'sais pas de quoi encore, mais j'vais l'faire! Finalement, on a skipper l'bar pis j'ai été la reconduire chez elle. Elle m'a fait entrer pour prendre un café. On a jaser jusqu'a 4h15 du mat. Elle s'est endormie sur mon épaule. J'suis bien. Life is amazing!

24 février 2010



(Failed) Sex et poulet Tandori

No mais fuck.
Le garçon, ça doit bien faire 2 mois que je le mets en attente. Deux mois pénibles, pour être assurée d'avoir la baise du siècle. J'écris ces lignes, je suis complètement blast, j'écoute du Uffie et j'feel porn comme jamais.

Voici l'histoire.

Ben. Chic garçon, drôle comme jamais. On s'entends parfaitement bien. Mais PARFAITEMENT bien. J'vous l'ai déjà dis: j'veux rien savoir d'être en couple. Ça tombe bien, lui non plus. Malheureusement, on s'est daté à quelques reprises. Il m'as jasé de ses baises, jlui ai jasé des miennes. Monsieur Ben, aime le sexe sans attaches. Parfait.
Il est mon défi personnel. Je le veux comme ami, sans plus. Sans sexe, sans attache... vous savez, un ami, un vrai.

EPIC FAIL.

Ce soir, films gore et poulet tandori au menu. Il est drôle, il me répète non stop qu'il aimerait foutre sa queue à mon ptit cul. Et moi, telle une gamine innocente, je me marre. Non stop.
Je lui répète sans fin qu'il est qu'un ami, que jamais sa queue va pénétrer ni ma chatte, ni mon cul parce que... il n'est qu'un ami. Sans plus.

Et je fixe son entre-cuisse... Et il nous cuisine un poulet out of this world; ses doigts sentent le curry a ne plus finir. J'adore l'odeur du curry; rien a foutre des pakis.

"Sens mes doigts, gamine"
-Rien à foutre de ton odeur de curry.

"Và tu daigner manger ma queue, ce soir? ... si je me beurre de poulet?"
-You're a sick kid, sick kid!
[Intérieurement, j'fantasme à l'idée.. sa queue, de la sauce épicée... miam.]

Bref, après (trop de) ces quelques shooters de Canadian Club, je me suis retrouvée ass up, face down, prête à être embrochée. J'avais tellement envie de lui, ça doit être causé par le film simili horreur, ultra porn qu'on s'est tapé juste avant. Allez savoir pourquoi, des meufs en sang qui se font prendre par des monstres tri-phalleuïques, ça m'allume, fucking big time.
Il me mangeait le cul like there was no tomorrow, je n'esperais que sa queue entre mes jambes. Mes doigts s'activaient sur mon clito pendant qu'il léchait entre mes fesses...
J'étais déjà, sur le bord de l'orgasme, j'avais faim de lui. 'Me retourne pour bouffer sa verge et là...

rien.

niet.

que dalle.

Qu'une quelconque masse molle, pendouillant, entre ses jambes.

"Bah euh, j'ai envie de toi, tu sais.. Mais on a beaucoup trop bu et.."
- Foutaises! Fuck off, j'bouge.

Et j'lui ai balancé des insultes au visage. Putain d'odeur de Tandori qui me scotch à la peau... Ya rien à faire, mes pores en son imprégnées. Je suis pissed. Et je n'ai même pas eu droit à un orgasme.

Je ne suis pas patiente. .. Et je n'accepte AUCUNES excuses.
Bref, sur ce, je vais me porner comme s'il n'y avait pas de lendemain.

21 février 2010



Stigmates

-Salut! Comme d'hab?
"Ouaip! Expresso, allongé.. un sucre, s'il te plait."

Je suis assise, dans ce même café comme à (quasi) tout les dimanches après midi. J'adore cet endroit. C'est calme, les gens ne se la pète pas. Le café est bon et il y a des coussins, à mettre sous nos fesses. 'Fait chaud, je suis bien.

-Voilà mademoiselle.
"Merci."

Et là, mes yeux se sont posés plus qu'intensément sur les bras frêles de ma serveuse, habituellement couverts jusqu'à ses premières phalanges.

"... euh. Tes bras."

Je sais. J'aurais du me taire, mais le mode filtre, dans ma bouche, est rarement activé. Elle, elle a rougis, ses yeux se sont remplis d'eau et elle a reviré les talons. Moi, gênée, paniquée, je me suis levée et ma main a empoigné un de ses bras balafré.

"Je suis désolée, vraiment. Mais je veux dire, tu t'es toi même exposée, tu travaille au public et.. bien tes bras sont à la vue de tous... Attends toi à des questionnements, han, tsé. ... "

Elle a tenté de reprendre son souffle et m'as difficilement répondu que je ne pouvais pas comprendre. Que MOI je ne souffrais pas... Ou un truc du genre. Je crois qu'elle était sur le bord de l'hyperventilation..

"Va porter ton tablier, ton air vert a besoin d'être aéré."

Et nous sommes sorties. J'ai pas trop compris ce que son arabe de patron lui a jargonné mais ça semblait être tout un aria quitter.. vieux con.

Je la tenais par les épaules, elle tremblait et je doute que se soit causé par le froid. On a marché longtemps, avant qu'elle ne se mette à parler.

[...]

"Viens, on va aller chez moi, j'ai quelque chose à te montrer" lui dis-je..

Rendues chez moi, j'ai retiré mes bottes et remonté ma jupe juste au dessus de mes bas aux cuisses...

"Descends les.."

Elle s'est exécutée. Aux genoux elle s'arrêta net, me fixa de ses grands yeux noirs.

-T'es comme moi alors?

On dirait que son univers venait de basculer.

Elle s'est mise a embrasser mes plaies cicatrisées avec une lenteur hors normes sans jamais me lâcher du regard. Mes mains se sont plongées dans son épaisse tignasse noire. Sa bouche, a remonté tout le long de mes stigmates pour se poser par dessus mon string, déjà trempé de désir pour cette petite gamine blessée.

J'avais chaud, très chaud. Et ce truc, dans ses yeux que je ne comprenais pas.. Ou plutôt plus ou moins.. Mélange d'empathie et d'impétuosité.. Déstabilisant? Terriblement. Elle avait cette hargne que j'ai (trop) souvent ressentie, mais encore, ce spleen total.

Mon string, maintenant complètement trempé par sa salive et ma soif pour cette petite guerrière émotive commençait à être un obstacle à nos fantaisies. Nous l'avons retiré, à deux.
Je crois qu'elle me parlait, sans mots, tout en lichant ma chatte. Elle me racontait une histoire, son histoire. C'était terriblement triste, mélancolique.. Inlassable elle mangeait mon sexe. Des larmes ont coulé le long de ses joues creuses quand mes cuisses se sont mises à trembler. Au rythme de ses coup de langue, l'entre jambe dégoulinant de cyprine, de salive et de pleurs, j'ai joui comme jamais. J'ai joui comme il n'était pas permis, mes cuisses fermées sur sa tête, emprisonnant son visage, scotché à mon sexe gonflé et humide..

Elle m'as laissée son mail, elle veut que je lui raconte mon histoire. Pour ma part, je ne suis peut-être pas prête à ça mais elle, elle peut toujours venir se réfugier, entre mes jambes, triste fille..



Mes jambes, elles effraient les mecs sains et les fillettes qui n'ont rien connu de la souffrance.
Ses bras, l'effraie elle même. Mais dans toute cette douleur, infligée par nous mêmes, nous avons su nous retrouver. Belle, belle gamine..

18 février 2010



Amant steady

J'sais pas combien de temps ça prends pour dire qu'on a un amant steady. ... Est-ce que ça se compte en terme d'heures? de journées? de semaines? ... En nombre de baises, au pire?
Bref, j'ai flushé mon "amant steady"
[Oui, déjà, tsé.]
Bien que mon profil prône le mensonge, j'essaie d'être le plus honnête possible..
[Sur certains points, du moins.]

1- Nous ne sommes pas un couple.
2- Nous ne formerons jamais un couple.
3- Je couche avec toi ce soir, demain, j'sais pas.
4- Nous ne sommes pas un couple.

Semble assez simple, non? Et je suis claire, très claire.
Et pourtant.. pouuuuuurtant! Je trouve toujours le moyen de me planter dans des situations délicates.
[Oui, délicates. Je reste, malgré moi, une bien gentille fille et je n'aime pas peiner les gens.]
Alors donc, cet amant formidable commençais à empiéter un peu trop à mon goût dans ma vie. Textos constant, attends à la sortie du bureau, m'invite à faire des trucs une ou deux semaines à l'avance...

Bordel.

Je me suis (re)trouvée, malgré moi, dans un espèce de dating scene assez ordinaire.
Un amant formidable, oui. Mais pas à n'importe quel prix.
[Mon lit est vide, j'ai besoin d'un nouvel homme. ]

14 février 2010



Skateboard et coeurs à la canelle.

L'amour est une bévue. Tu t'en prends plein la gueule, pour finalement aller t'écraser de tout ton long sur le sol.
Mes pieds nus, sont , sur ce béton impersonnel. J'ai déjà donné coté amour, ne vous méprenez pas. Mais la drop a été fatale. Je n'ai plus cette naïveté d'autrefois, malheureusement. Ignorance is bless qu'ils disent. Dans ce contexte je suis entièrement d'accord.
Un peu comme quand on skatait quand nous étions plus jeunes. Pour ma part, rien ne m'effrayais. La peur, j'connaissais pas. Et aujourd'hui, debout sur ma planche, j'ai les bras dans les airs et les genoux qui shakent. Je connais la douleur.
J'ai remisé mon skateboard.

Mais des fois, on y pense moins à cette souffrance.. Et on se permet d'y croire; juste un peu... Une journée ou deux. On se scotch un sourire Colgate et on ferme les yeux. Là tout est bleu et jaune. Comme une journée d'été, hyper-ensoleillée.

J'ai passé trop de temps avec ma délicieuse colocataire et son ostie de têteux. Je commence à amollir.

Bonne St-Valentin, chose.

10 février 2010



Le vide

Je parlais au Shaft tantôt.. J'ai écris beaucoup ces derniers jours sans aboutir à rien. Ce n'est pas faute d'amants, bien au contraire. Ma chatte bien remplie et ce,quasi en tout temps.

Malgré tout, je me sens un peu vide. Les beaux garçons pleuvent, les bons amants sont maintenant partout. Ma génialissime colocataire m'as même présenté un chic garçon. Un gamin stucked dans un corps d'homme viril. Fun times. Et je la vois, elle et son amoureux. Son amoureux plate et beaucoup trop romantique. Cet amoureux qui l'a regarde avec de grands yeux impressionné. Sous le charme raide. Ce regard là, je ne l'ai pas sur moi.

Je suis principalement un objet de désir, ou dans le pire des cas, je peux être buddy-buddy. Mais devenir un être complet, au yeux d'un garçon semble impossible, pour moi.

Non pas que je veuille me matcher, mais je voudrais savoir comment on se sent, avec ce regard posé sur soi. Ma sublime colocataire est resplendissante ces jours ci. Je la jalouse ardemment.

Mes post habituels reviendront, sous peu. Ce soir je me sens juste.. vide.

8 février 2010



Igloo...

J'aimerais ça être alcoolique... ça l'air le fun en tabarnak! Messemble que la vie aurait l'air moins plate... plus floue...

Ben coudonc...

2 février 2010



Le garçon triste

Je me plais bien dans le rôle du "rebound" affectif... D'autant plus que je peux donner beaucoup plus que de l'affection. D'autant plus que ce qui m' intéresse c'est bien tout, sauf l'affection.
[Ils se cassent le bicycle à nous vendre des chiots... come the fuck on!]

Bref, il y a ce garçon... Nous avons une longue histoire complexe.. mais anyways, c'est tellement meilleur quand c'est complexe. Nous avons été ensemble quelques temps, il y a quelques années déjà.. Évidemment ça n'a pas fonctionné comme je le voulais. Bref, ça fait 4 ans qu'il est dans un couple tout aussi dysfonctionel, je me plaisait bien à être son amante. C'était simple, c'était bon. Il passait ses frustrations sur mon corps. Je ne m'en plaignais pas le moins du monde; j'aime les hommes qui baisent avec hargne.
[Hihihi.]

Le hic est qu'elle l'a dompé. Le hic est qu'il a besoin d'une oreille, d'une épaule pour pleu...
[Beurk han, sérieusement... ]
...rer.. Moi j'peux rien lui offrir de ça. Pas que je ne sais pas écouter, loin de là... Mais que l'envie n'y est pas, tout simplement. Je m'en balance de son ex greluche. Arrête de chigner fillette, prends moi maintenant!
[Désespoir de désespoir. ]

J'ai réussis à le mettre en crisse, histoire de pouvoir me mettre. Il avait l'air hors de lui, un animal! J'en bavais de partout.
Et là..

R.I.E.N.

Absolument rien.
[AAAAAAAAH! ]

Il est parti tôt, après maints essais. Et je n'ai rien.

Il est triste, je suis pissed.
J'ai une pressente envie de me faire mettre sauvagement et tout ce que j'ai sous la main est un gentil garçon et un garçon triste. J'ai désespérément besoin de Johnny Walker.

Hey, LeShaft , ya des barman fricotables à ta place de merde?

1 février 2010



Bitchage et manque de subtilité...

Ya tu juste moi qui a remarqué que les femmes, plus qui essayent de bitcher dans l'dos d'une autre fille sans que ça paraisse, PLUS ÇA PARAIT! Tsé, y commencent par te poser des questions en apparence inoffensives, mais on les voit toutes venir avec leurs skis dans un jeu de quille! Y pensent tu VRAIMENT qu'on sait pas ou y veulent en venir? Non mais sacrament, messemble qu'un gars qui veut bitcher un autre gars, ça va avoir l'air de: "Tsé, Charles, CALISSE QUI M'ÉNARVE AVEC SA TABARNAK D'AIR DE MARDE!". Point final. That's it. On passe à d'autre chose. Mais une femme... calisse que ça tourne autour du pot pour rien! J'ai eu une conversation cette semaine avec une de mes amies qui m'a fait vraiment freaker. Ça ressemblais à peu près à ça:

-"Hey, j't'ai vu jaser avec Carole cette semaine... T'as connais?"
-"Ben... euh... c't'une connaissance la! Pourquoi?"
-"Bah pour rien la... T'as connais tu beaucoup?"
-"Non... Coudonc toi, c'tu un interrogatoire que tu m'fais la?"
-"Hahaha... Ben non la, j'te d'mandais ça de même la... T'as trouves comment?"
-"Qu'est-ce tu veux dire?"
-"Ben t'as trouves tu fine, sympatique, le fun...?"
-"Correct la. J'la connais pas tant que ça tsé!"
-"Ok, ok... Mais t'as connais de où?"
-"C't'une amie d'un ami. Mais qu'est-ce t'as la? Ça te dérange à ce point la que j'jase avec Carole?"
-"Ben non... C'est juste que c'est pas ma meilleure amie disons."
-"Ok, a t'énarves! fallais l'dire!"
-"Non non, a m'énarve pas... On a juste pas beaucoup de points en commun mettons."
-"Ouin..."
-"Mais t'as trouves juste correct? Pourquoi t'as trouves pas plus fine que ça?"
-"J'sais pas, j'la connais pas tellement, mais j'la trouve un peu fendante."
-"Oh god, est TELLEMENT fendante! L'autre jour, à passe à coté de moi pis à me regarde super croche la! Tsé, à se prends pour qui elle? La princesse de Mascouche? La Diva de Lavaltrie? La Queen de Val Bélair? NON MAIS CRISSE QUE J'L'HAIS LA CHIENNE!"
-"Bon, ça faite du bien?"
-"Quoi ça?"
-"Ben, bitcher Carole!"
-"Franchement, j'la bitche pas!"
-"Si tu l'dis!"
-"Mais t'as trouve tu belle?"
-"NOOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!!!!!!"

C'est à ce moment là que j'ai eu ma première pensée suicidaire à vie. Faque pour faire passer ça, j'ai été au bar, prendre un ou huit Johnny Walker on the rocks.

Pis j'ai finalement eu l'courage de parler à ma p'tite barmaid de 100lbs.


À ben aimé ma joke de pingouins, à des belles dents pis à s'appelle Eva.




I think I'm in love.