27 février 2010



Marathon de cochonneries..

Avant hier, il était sur le porche de ma porte, à me supplier (ok j'en mets peut être un peu...) de lui laisser une deuxième chance... Ben se tenait là, les bras lousses, une bosse prédominante dans ses jeans..

"Ah come on là! J'ai envie de toi! On avait juste beaucoup trop bu! T'es pas pour me faire un crisse de scène à cause de ça!! Check, j't'assure, tu m'allumes, avec tes problèmes et tes marques à la con sur tes cuisses et ta façon de ma haïr quand je te déçois... et.. et.. fuck .. ******** j'ai envie de toi!"

- Ok, ta gueule. Monte et prends moi.

Et depuis ces 48 heures, on baise. Sans fin, sans se tanner. Bien sur, on prends des breaks, on dors, on se nourris (principalement sur le corps de l'autre..) et on se marre. Fuck il est drôle. Mais surtout.. il mange ma chatte, inlassablement..
Mon corps se crispe sous les jouissances infligées mais surtout, sous les douleurs, les brûlures qu'il (ou que je..) m'inflige..
C'est fusionnel. Le sexe est divin.
Je sens lui, à plein nez. J'aime son odeur, c'est musqué, très très viril.

Présentement, il dort, dans mon lit. Il n'est pas douché d'ailleurs. Son sexe sent le mien, je compte le rejoindre sous peu... finir le tout sous les jets chauds de la douche... Pissed off ma superbe coloc et son copain, trop fermés pour nous suivre dans nos délires..
J'désire des trip frôlant l'orgie, je crois être sur un fucking high, quelques chose que même la meilleure des dopes n'atteint pas. J'ai envie d'être un avec Ben, pis fuck, c'est pu loin.
...

2 commentaires:

  1. C'est drôle... y'a pas bandé une fois parce qu'il était saoul et c'était le pire des loosers. Là, y bande et c'est le meilleur des winners. Morale de l'histoire: Bois moins, fourre plus.

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  2. Qu'il soit un winner ou un loser, je m'en contre fou. L'important est qu'aujourd'hui je sois bien baisée.
    ...
    C'est pas mal tout ce qui m'importe.

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