27 janvier 2010



Le garçon timide versus le garçon pas si timide..

Enfin! Dimanche je festoyais la fin de mon sevrage avec un des gentils garçons.
Atrocement beau, allumé, cultivé... mais merde, il est timide comme mille. J'avais l'impression d'être jetée en pleine scène d'un film d'ado pré-pubère hyper bidon.
Gentil, il se colle, joue dans mes cheveux...
[Deux mois. exactement deux mois depuis que je n'ai pas sentie la dure verge d'un homme dans ma chatte. Une soixantaine de dodo ça! DEUX MOIS!]
...me dit que je sens bon, que je suis belle, qui aime être...
[Là garçon allume. Ma main sur ta cuisse se fait pressante, tu m'intimide aussi, j'veux pas te brusque dans toute cette gêne.. mais.. DEUX MOIS!]
...avec moi. Finalement je me tanne:
"Embrasse moi"
Il rougit.
[Bordel t'as quoi? 15 ans?! Embrasse moi! Fais le! Je sais que t'en a envie! ...]
Et il m'embrasse. Finalement. À partir de là, les choses ont été pas mal vite, le linge s'est retrouvé par terre, moi aussi d'ailleurs...
[Et c'est à ce moment précis que tout à planté..]
"Je trouve dégradant que tu mette mon pénis dans ta bouche"
WWWWHHHHHAAAAATTT THE FUCK?!?!
[Là j'ai sauté une coche. Mais comme jamais.]
"En quoi c'est dégradant?! Pour moi ce qui est dégradant c'est d'être assise à coté de toi, comme une foutue gamine, à rêver de me faire baiser! Je croyais avoir été claire! Plus que claire même! Tu étais même d'accord! Pas d'attaches non? Tu pars dans cinq mois, le temps que t'es là on s'amuse, sans plus! Sais tu ce que tu veux bordel?! T'as 29 ans ou merde?!"

.. Il s'est habillé, il m'as dit qu'il devait penser..
Nom d'une merde, on doit faire quoi pour se faire foutre aujourd'hui? Je suis prête à les faire les soirées de films collés... à le regarder dans les yeux pendant qu'il me prends en missionnaire s'il faut.. MAIS EST-CE QUE JE PEUX AU MOINS FAIRE UNE PIPE?!

Suite à cette cuisante déception et quelques conversations avec ma coloc chérie, nous en sommes venues à un consensus. J'avais besoin de rencontrer l'homme le plus viril et croche de la terre, de l'univers. Je devais absolument me faire foutre.
Ce "très" jeune homme, vient de sortir de chez moi. ...

"T'es mignonne avec tes bottes de pluie... t'es consciente qu'il neige dehors, right?"
[Évidemment gros nul.]
"Mais si j'avais mis des bottes d'hiver garçon... T'aurais trouvé quoi pour m'accoster?"
"J'aurais attendu que tu te lève pour aller à la salle de bain, je t'y aurais suivi"
[No way. Beau et pas timide?!]
Nous nous sommes souri, il m'as offert un café que j'ai refusé.
"J'ai une cafetière chez moi... entre autres."

Et quel sexe incroyable! Et là je parle non seulement de l'engin, mais surtout de la symbiose de nos corps sur le plancher du salon.
[Faudra en glisser un mot à ma coloc, avant qu'elle ne glisse, sur ce dit plancher...]
Déjà, marchant vers mon appartement la tension était extrême, rendu chez moi il m'as plaquée contre la porte, se débattait avec mon manteau, mes bottes, il m'as mise à nue dans l'entrée.
J'étais excitée comme mille... il s'est agenouillé, et m'as mangé longuement, goulument...
[Dégradant? NON!]
Je ne m'en pouvais plus, je l'ai trainé au salon, il se déshabillait pendant que je le tirais, ma chatte criait pour l'avoir. Je me suis mise à genoux, attendant la bête... Et quelle bête! Je l'ai donc prise en bouche, mangeant avec appétit sa verge, je ne pouvais pas détacher mes yeux de son visage... Il semblait être sur un nuage, mais en plein trip de drogue extrême. Ses yeux ont soudain figé aux miens; il m'as relevée, fouillé dans ses pantalons, sorti un rubber, m'as retournée et ma prise comme si sa vie en dépendait...

Je vais avoir de la difficulté à marcher pour au mois trois jours...
Je mettrais ça sur le compte des bottes de pluies inconfortables mais oh combien pratiques!

25 janvier 2010



Say my name, Bitch!

"Euh... ben... j'sais pas trop la..." qu'a me répond, l'air de se demander en tabarnak pourquoi la première chose que je lui demande, avant même d'y demander son nom, c'est pourquoi, d'après elle, les pinguins sont en tuxedos. Déstabiliser la cible... Check!

"Ben voyons, c'pas compliquer: c'parce qui a un ours polaire qui se marie!". Je l'sais, la joke est poche en crisse, mais le but, c'est juste de voir si a va la rire pareil. Ça en dit long ca. Si la fille la trouve drole (malgré le fait que même un hamster attardé trouverais ça épais), ça me montre 2 choses: 1, if she's into me. 2, si a des belles dents. Parce que sérieux, qui c'est qui veux fourrer une fille avec des dents degueux? Wow! A trouve ça très drole, pis a des osties de belles dents blanche. Prochaine étape...

"J'offre quelque chose à boire! Tu veux quoi?". 3ième étape. Parce que dépendemment de ce qu'a boit, tu peux savoir à peu près de quoi ça va avoir l'air un coup rendus au motel. Si la fille commande une bière locale, genre Bud, Molson Ex, Labatt Bleue, Coors Light, tu peux t'attendre à ce qu'a soit relativement cochonne. Dans l'fond, a pense un peu comme un gars. Par contre, si a prend une bière importée, genre Stella Artois, la, ya plus de chances qu'a finisse par t'obstiner sur une quelconque mauvaise tournure de phrase que t'as dit. Bref, a pense comme Denise Bombardier. Si c'est un drink sucré, genre une Smirnoff Ice ou un Sex on the Beach, la, tu risque de retourner tu seul au motel, parce qu'a va finir par choker sous prétexte qu'a peux pas laisser ses chums de filles tu seules. A moins d'avoir assez de Wingmen pour s'occuper de ses amies, oublie ça! Si t'es ben chanceux, elle va se commander un shooter. Mais la attention. Ya deux sortes de shooters possibles: les shoters sucrés pis les shooters de fort. Si a prend du fort, la possibilité qu'a finisse dans les toilettes à vomir sa vie est augmentée. Par contre, le shooter sucré démontre un désir de faire le party, sans nécessairement être malade. Bon, a veut une Molson Ex... Ça devrait ben aller.

"J'pense à ça, moi c'est LeShaft! Enchanté! Toi, c'est quoi ton nom?". Le moment crucial. Ça passe ou ça casse. J'attends sa réponse... A semble un peu hésitante... Pis a me réponds: "Linda. Enchantée!".

Sacramant. J'peux pas fourrer une fille qui s'appelle Linda.

Finalement, chu retourné chez nous, encore tu seul, pis j'pense encore à ma ptite barmaid de 100lbs. Faudrait ben que j'finisse par avoir le guts de la cruiser... j'espère qu'a s'appelle pas Linda.

22 janvier 2010



I want to kill you like they do in the movies

This might be the soundtrack of a humongous part of my life.

Détruire quelque chose de bien, comme si je me détruisais moi même.
C'est mal sain, j'en conviens! Mais je n'ai jamais dit que j'étais saine.
I act like I'm sane. I love pretending. I'm a comedian, la meilleure (in)connue.
J'ai une envie de sexe frôlant la déviance, d'un homme hyper contrôlant...
J'ai besoin d'avoir mal. Je veux gémir..de douleur, de plaisir.. J'ai envie de lamentations lubriques. D'enfoncer mes ongles dans la chaire masculine
J'ai envie de blesser. De créer des tensions, des attentes hors normes.
De tout briser.

C'est mal sain, j'en conviens! Mais je n'ai jamais dit que j'étais saine...


Trop, c'comme pas assez...

Tse dans vie, quand t'as trop d'options, c'est presque pire que de pas avoir le choix. On dirait que plus t'as de choix, plus tu prends les pires décisions ever. Pis pas juste ça, mais plus t'as de choix, plus tu veux prendre les options que t'as pas. Mettons que t'as une blonde, pis que toutes les filles te courrent après, non seulement tu vas faire le choix cave de tromper ta blonde, mais en plus, tu vas vouloir la tromper avec une fille qui te veux pas! Tu vas au club vidéo, tu vas choisir le film le plus plate de la gang, mais avant de le louer, tu va demander au kid en arrière du comptoir si ya le film que tu veux, même si tu sais que cte film la sort juste dans 2 mois. Pas grave, ma prendre une chance!

J'ai de la misère à endurer le monde demême osti...

Bon, comme j'ai le choix de faire plein de choses ce soir, ma essayer de voir si j'pourrais pas aller sniffer de la coke sul cul d'une p'tite barmaid de 100lbs... les autres options sont tellement trop terre à terre!

21 janvier 2010



Foutu sevrage..

Je suis dans l'attente.
Dans ma tête, une panoplie de mises en scènes qui se produiront probablement dimanche.
Entre mes cuisses, je ressens le chatouillement du désir qui grimpe et grimpe encore.
Je me suis obligée à un sevrage de fornication... Deux mois.

Deux terribles mois. À reluquer les hommes sachant clairement que je ne me permettrais de leur laisser mon numéro, ou encore, de leur lancer ce regard qui me défini entièrement. Ces mois de vache maigre sont maintenant chose du passé (et c'est bien tant mieux!) .

J'ai néanmoins rencontré quelques hommes, dans un but plus ou moins sérieux... Deux d'entre eux sont toujours dans les parages. Hier soir, j'étais chez l'un d'eux.. Avant de le quitter, il m'as glissée à l'oreille qu'il n'en pouvait plus de se retenir.
Il m'as prise par la taille, m'a serrée contre lui, j'ai relevé la tête et je me suis hissée à sa bouche.
Il m'as embrassée me retenant bien pour ne pas que je perde l'équilibre. Je devais quitter, absolument. Ma chatte mouillait, ma tête était légère, mes mains voulait lui arracher son pantalon, toucher cette verge qui se faisait plus que présente sur mon bas ventre.


La date de tombée (ou de levée...) est dimanche. Je n'en peux plus.

20 janvier 2010



Ordinaire

Je suis assise en indien, devant Télétoon.
Ma coloc date un gars plate dans sa chambre. Typique gars gentil, trop bon pour la fourrer adéquatement.
Mes yeux se promènent entre l'écran télé et l'écran d'ordi.
Le son est sur "mute"... Je veux savoir s'ils baisent.
(Je sais, ce n'est pas poli d'écouter aux portes. Mais ils ont juste à ne pas chuchoter... )

Dans le fond, je la jalouse.
J'ai envie moi aussi de baiser un gars plate.
Tiens l'annonce du SlapChop.
Juste une fois, un gars avec qui sera ordinaire. Rien de plus.
Un bon petit garçon prévisible. Qui se donnera à 100% parce qu'il espère plus.
Qui me regardera dans les yeux, qui me chuchotera des "t'es belle, t'es douce, je.. je t'aime"

Beurk, l'envie vient de me passer. Tabarnak.

19 janvier 2010



Osti de fantasme fucké...

J'ai toujours eu des droles d'idées... j'dirais même que dans ma tête, ça ressemble quasiment à un zoo, avec des cages en barbelés électriques qui empêchent les pensées un peu trop freakantes de sortir en public. Mais la, à soir, y'a un fantasme qui s'sauve. J'm'excuserais ben à ceux ou celles que ça pourrait choquer, mais dans l'fond, j'm'en calisse. J'ai vraiment pas l'ombre d'un once de politically correctness en moi.

J'rêve de fourrer une grosse. That's it. Tout l'monde dit que les grosses sont cochonnes... qui suçent comme des osties d'Shop-Vac... qui font pas mal toute juste parce qui veulent que t'es rappellent! Mais chu juste pas capable. J'les trouve tellement laides, chu incapable de bander. J'ai déja essayer d'en cruiser une dans un bar. J'tais ben parti pourtant: à se frottait sur moi sur l'dancefloor, elle arretait pas de me dire à quel point à mouillait pis à quel point elle voulait sentir mon bat dans sa grosse plotte humide. J'ai même été jusqu'à la frencher, mais toujours rien down there. J'avais même pas bu assez pour que ça soit d'la faute de l'alcool. Tsé, elle avait une belle face, mais juste à l'idée qu'elle enlève sa robe (un peu trop serrée pour son size d'ailleurs), le coeur me lèvait. Pis malheureusement, ya rien que le coeur qui levait! J'ai fini par y faire croire que j'avais un gros meeting important à 7h le lendemain matin. La grosse épaisse m'a cru. J'ai pris son numéro, pis j'ai crissé mon camp. J'imagine qu'est retournée chez eux, question de manger ses émotions. Pis moi, ben, chu retourné chez nous... me crosser en pensant a la barmaid de 100lbs!